(N’Djaména, 22 novembre2016) – Cela fait maintenant trois mois que les services publics tournent au ralenti au Tchad.
De nombreuses écoles sont fermées, service minimum dans les hôpitaux, les tribunaux et dans plusieurs administrations.
Les fonctionnaires réclament le paiement d’arriérés de salaires et les syndicats sont vent debout contre les mesures de redressement des finances publiques annoncées par le gouvernement.
Ce n’est pas facile de tenir trois mois comme cela sans rien du tout.
Mahamat Nour Ibedou
« Il y en a qui font du moto-taxi qui survivent avec ça, il y en a qui font du petit commerce, mais, c’est difficile. J’en connais des gens qui ont mis trois à quatre jours sans mettre la marmite au feu. Ils sont nombreux, croyez-moi. Je ne sais pas jusqu’à quand, on va tenir comme ça, mais, la situation est assez exceptionnelle », a déclaré à RFI, Mahamat Nour Ibedou, leader de la Convention Tchadienne pour la Défense des Droits de l’Homme (CTDDH).
TchadConvergence
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en temp qe president de l’union-africain il peu pas gerre la cituation de sont pays….,,,,,,,,,,et se frr son faim,soif ou moi je dit qe d’autre ethniqe qi son faim soif et eux leur bateri est toujour plain a cause de sa qil fait d’autre tchadien meur par soif et d faim……..dans le monde tt est pareille on sait pas un jour verra…………..?