L’armée de l’air libyenne du Gouvernement d’Union Nationale (GNA) basé à Tripoli et reconnu par l’ONU a lancé jeudi dernier des frappes aériennes de précision sur les armes du système de défense de Khalifa Haftar et sur ses forces basées à Jufra, dans le centre de la Libye.
La milice de Khalifa Haftar auto-proclamée Armée Nationale Libyenne (LNA) effectue la plupart de ses frappes aériennes depuis la base aérienne de Jufra qui est aussi la principale base d’approvisionnement de la LNA.
Le porte-parole de l’armée libyenne, Mohamed Ganouno, a révélé que l’armée de l’air libyenne avait frappé la principale salle d’opération des forces de Haftar, dans la base aérienne de Jufra.
« La salle d’opération était supervisée par des officiers étrangers d’un État régional agressif », a déclaré Ganounu à la conférence de presse. Il a en outre confirmé la destruction complète de la salle d’opération.
Dans le même temps, des sources du commandement de la GNA ont confirmé que six experts militaires des Émirats arabes unis avaient été tués dans les frappes contre les forces de Haftar autour de la base aérienne de Jufra.
Selon des sources concordantes, ces bombardements menés par des avions et des drones auraient également détruit l’essentiel de la force constituée de mercenaires tchadiens envoyés par Idriss Déby, de rebelles tchadiens et des Toro-Boros soudanais, basée à Jufra.
Le reste de mercenaires tchadiens envoyés par Déby et certains Toro-Boros ont récupéré tout ce qui est récupérable en armes et munitions et ont pris la direction du Darfour au Soudan.
Une instruction donnée par N’Djaména ?
Il ne faut surtout pas revenir vers le Tchad pour montrer une fuite de l’armée de l’homme considéré comme gendarme d’une partie de l’Afrique. C’est aussi une stratégie finement organisée pour arnaquer les « flouss » des saoudiens et Emiratis. Ces mercenaires reviendront certainement très prochainement au Tchad pour être réengager dans le prochain envoi de troupes. Qui est fou de qui, disait la chanson de Manu Dibango.
En effet, depuis le 4 avril dernier, à chaque mobilisation générale de la milice de Haftar pour l’assaut final contre Tripoli, le dictateur tchadien recevait des valises de dollars selon des sources concordantes en Libye.
Le Syndicat des Enseignants du Tchad (SET) sonne l’alarme
Le SET demande au gouvernement de rétablir les « salaires indûment coupés depuis trois ans » et menace d’aller en grève à la veille de la rentrée scolaire 2019. En effet, avec la hausse de 43 milliards de FCFA des recettes pétrolières au deuxième trimestre 2019, le Tchad a engrangé beaucoup d’argent ces derniers temps et il n’y a pas de raisons de ne pas payer intégralement les salaires des fonctionnaires.
TchadConvergence
Le flousse c pourquoi ils sont motive
Pour vouloir restituer un gouvernement et embarrasse l onu .jusqu’à passer outre les règles de principe d indépendance.
Bizarrement omar el bachir s est fait destituer, alors que ca fait 15ans qu il a des problèmes, les rebelles du Darfour alors qu il ont eu leur indépendance. Etablisez les ordres des choses et le schema se déploiera