jeudi, mars 28Covid-19: 3419 cas, 2544 guéris, 121 décès.
Shadow

La presse N’Djaménoise a trouvé les vrais coupables de la crise économique et financière au Tchad: « Voleurs, remboursez ce que vous avez volé ! »

Les Tchadiens sont assez mûrs pour comprendre l’origine de leurs problèmes et proposer des solutions. Si le Sultan du Dar-Bilia veut réellement que le pays avance et que cette crise s’arrête, il doit dire à ses proches de ramener purement et simplement tout ce qu’ils ont volé ! Et la justice sera faite. Dans le cas contraire, qu’il nous laisse dans notre misère au lieu de nous casser les oreilles avec des bruits inutiles… La presse Tchadienne commence à pointer du doigt ceux qui semblent être en grande partie la cause de la banqueroute de l’état Tchadien.
voleur1
voleur2

Merci de partager cet article...

12 Commentaires

  • Ngarmoum

    La solution de la crise et est simple sauf que la volonté qui manque.il faut que chacun oublie qu’il a la demcratie amené par idriss et agit dans la ductature tout ira.quelle pouvoir par les peuples qui ne connait pas les peuples et leur droit?

  • djikoloum ngaramsegou

    La solution pour cette crise ne concerne pas les étudiants, ni les fonctionnaires Tchadiens mais cette solution viendra de ces présumés voleurs de la république.Voici la solution, que moi je propose « vérifions nos comptes bancaires à l’intérieur et a l’extérieur du pays ».Merci

  • allaramadji

    l’ombre de la mort où vivent les paissibles citoyens tchadiens car la democratie est une image attribuée au tchad pour faire savoir au monde que le tchad est un pays democratique mais en réalité les tchadiens vivent en sorte des esclaves enfermés dans les contenaires qui ont le seul droit à l’excusion de leur maitre et à des assassinats tragiques sans se reserver aucun droit pour dire non à ces tortures ou masacres mais malgré tout cequi est passé et ceque vivent les tchadiens actuels qu’ils soient optimistes à l’avenir de ce pays.

  • djekonbé bonheur

    si le père de la nation veut pallier la situation, qu’il fasse rapatrier les fonds du Tchad volés par ses enfants , sa femmes et les siens, ses neveux orphelins et autres. nous ne sommes pas dupes. Le pétrole n’a rien de commun avec cette situation.

  • Delmas

    cette crise peut partir comme elle est venue, sauf que ceux qui l’ont declenché veulent la prolonger.la solution ne reside pas dans la suppression des bourses et des primes, mais seulement en ramenant le fric volé.

  • Kalboua

    Au Tchad, les voleurs eux-mêmes se reconnaissent. Ce sont les gens du pouvoir et leurs obligés.
    Pourquoi cette crise est -elle si particulièrement dure pour le Tchad et non pour les autres pays ? Tout simplement parce que chez nous le régime MPS et ses acolytes ont installé le Gangstérisme d’Etat et une barbarie sauvage en matière de gestion financière économique. Comme ils sont responsables avec les aventures guerrières en Centrafrique, au mali, au Nigéria, au Cameroun, que sais-je encore, c’est à eux de remédier au tort causé. Pauvre Tchad, tu ne mérites pas cette situation, car tu es un pays de merveille que j’adore tant, mais tes fils malsains t’avilissent. C’est triste, que nous assiste.
    Vivement le Tchad.
    Kalboua

  • Josue Lonahamou

    il faut que les tchadiens acceptent de mourir.sortir massivement nuit et jour comme bourkina l an dernier d autant plusque jamais car la liberte ne se donne jamais.j’exortes la societe civile,les opposants et la population de montrer leurs determinisme a la conquete de la liberte et la democratie.comment comprendre que celui qui te fait souffir,exploiter,priver de ta liberte et qui troumente le memoire de la jeunesse ,sans spoir.du cultivateurs,aux fontionnairs jusqu’a tous ceux qui excerssent les activites prive comme publique.vraiment que tous les tchadiens prennent conscience.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.