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Éducation et Santé

Tchad: pour des raisons sécuritaires, le lycée Sacré-Cœur de N’Djaména ferme ses portes

Tchad: pour des raisons sécuritaires, le lycée Sacré-Cœur de N’Djaména ferme ses portes

Éducation et Santé
(N'Djaména, 3 octobre 2016) - Après une quinzaine de jours de cours dans ce grand établissement du Tchad, le lycée Sacré-Cœur de N'Djaména ferme ses portes à partir de lundi 3 octobre 2016 jusqu'à nouvel ordre, selon un communiqué publié par le président de l'association des parents d'élèves du Sacré-Cœur. Ceci à cause de multiple grèves qui secouent le pays suite au non-paiement des salaires des enseignants et au gel des primes et indemnités des enseignants. Le Lycée Sacré-Cœur est classé meilleur établissement du Tchad avec un taux de 100% de réussite au Baccalauréat et au BEF. Selon Dionlar André, les cours avaient débuté normalement le 15 septembre comme prévu. Malheureusement, à cause de la grève lancée depuis août par le Syndicat des Enseignants du Tchad, une grande partie d...
Tchad: après les étudiants, le syndicat des enseignants du supérieur réclame à son tour la tête du ministre Mackaye Hassan Taisso

Tchad: après les étudiants, le syndicat des enseignants du supérieur réclame à son tour la tête du ministre Mackaye Hassan Taisso

Éducation et Santé
Suite aux communications N°7 et 8 du Bureau Exécutif National du Syndicat National des Enseignants et Chercheurs du Supérieur (SYNECS), relatives à la mesure gouvernementale de geler les primes des enseignants et chercheurs du supérieur pour 18 mois, la section SYNECS de Doba, réunie en assemblée ce jour, 28 septembre 2016, demande le départ  sans conditions du Ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche et l’innovation et la démission sans délai du gouvernement pour incompétence notoire. En outre, les enseignants chercheurs, membres du SYNECS de Doba, déplorent la léthargie des autorités rectorales dans le suivi des états de paiement, mettant les enseignants de cette institution dans une situation chaotique avec cinq mois d’arriérés de salaires et primes. Par conséquent,  ...
Recrudescence du paludisme au Tchad

Recrudescence du paludisme au Tchad

Éducation et Santé
Le Tchad connaît une recrudescence du paludisme favorisée par l’hivernage. Du 3 janvier au 3 septembre 2016, 833.628 cas suspects ont été enregistrés sur l’ensemble du pays, avec 1.302 décès, soit un taux de létalité de 0,16%, selon des données fournies par le Service de surveillance épidémiologique intégré (SSEI). L’année dernière, sur la même période, c’était 657.471 cas pour 826 morts seulement (0,13% de létalité). On n’est donc pas loin de la flambée de 2013 : un million de cas et 3.000 décès, surtout chez les enfants de moins de cinq ans (175 cas pour 1.000). “Le paludisme constitue plus de 27% des motifs de consultation dans les formations sanitaires et autours de 17% des décès qui surviennent dans les hôpitaux et centres de santé. Nous remarquons qu’il y a une augmentation d’u...
Tchad: le gouvernement supprime les bourses allouées aux 18 000 étudiants de l’intérieur

Tchad: le gouvernement supprime les bourses allouées aux 18 000 étudiants de l’intérieur

Éducation et Santé
Le professeur Mackaye Hassan Taïsso, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’innovation, annonce la suppression des bourses des étudiants tchadiens dans toutes les universités et instituts du pays. Raisons avancées, l’octroi de la bourse mensuelle de 30.000 FCFA par étudiant bénéficiaire n’a pas lieu d’être puisque les étudiants bénéficient des bus pour se rendre dans les facultés et ont aussi la restauration qui est prise en charge. Cette décision s’inscrit dans le cadre des 16 mesures d’urgence prises par le gouvernement afin d’endiguer la crise au quelle fait face le pays. Selon le chef de département de l’enseignement supérieur sur les 55 000 étudiants, il y a 18 000 boursiers. TchadConvergence avec Tchadinfos

Rentrée scolaire 2016 au Tchad: entre contraintes naturelles et crise financière

Éducation et Santé
Officiellement, les élèves tchadiens ont repris le chemin de l'école depuis le 15 septembre 2016, mais rien ne semble être prêt. Les établissements sont dans des états déplorables, les cours sont inondées ou envahies par des herbes, les enseignants ne sont pas payés et les parents se plaignent de la situation financière, personne ne croit qu'une reprise sera possible dans ces conditions.